mercredi 30 mars 2011

Un pour Un Mouvement - fondateur de TOM'S Shoes

À 2006, le voyageur américain Blake Mycoskie a soutenu les enfants en Argentine et a trouvé qu'ils n'avaient pas d'aucuns souliers pour protéger leurs pieds. En souhaitant aider, il a créé les TOM'S Shoes, la compagnie, qui correspondra à chaque paire du souliers acheté avec une paire des nouveaux souliers, donné à l'enfant au besoin. Un pour Un. Blake est revenu à l'Argentine avec le groupe de la famille, les amis, plus tard cette année-là de 10 000 paires du souliers fait par les clients de TOMS.

"Il y a cinq ans je faisais un truc très différent. Je dirigeais une école de conduite en ligne en Californie. Soudain plein de gens se sont mis à me copier. Et j'ai vite été cramé par le travail pour sortir le premier. J'ai décidé de partir en Argentine. Pourquoi ? Trois ans plus tôt, j'étais avec ma soeur dans un jeu télévisé qui s'appelait "The Amazing Race". On a raté le prix d'un million de dollars à 4 minutes près. Et c'était de ma faute. On avait été au Brésil et en Argentine pendant la course, mais sans avoir le temps d'en profiter. Quand j'ai prix mon mois de vacances, j'ai donc décidé d'aller en Argentine.

J'ai essayé le tango, le polo et le vin. Dans un café, je rencontre des Américains qui étaient en Argentine pour récolter des chaussures peu utilisées auprès de gens aisés et les offraient ensuite à des gens défavorisés. Quand ils m'ont invité à les rejoindre pour passer ces chaussures, j'ai accepté, me disant que ce serait drôle. Et là, dans le village, je vois des enfants et leurs parents excités comme si c'était Noël. Peu importe que c'étaient des chaussures d'occasion ou pas à leur taille. Je n'avais jamais expérimenté ça. Après avoir distribué 250 chaussures, dans la voiture du retour, je me sentais incroyablement heureux.

Au diner, avec mon prof de polo, une question a émergé : que faire quand les chaussures seront devenues trop petites ? Les bénévoles n'avaient pas spécialement l'intention de redonner des chaussures à ces gamins. Cela m'a travaillé. Le lendemain, je me suis dit mais pourquoi est-ce que la charité doit être responsable du problème de ces enfants ? Je suis entrepreneur, j'ai réfléchi à une approche business simple : pour une paire achetée, une paire offerte à ces enfants.

Le mois suivant, j'ai fait les 250 premières chaussures en Argentine, je les ai mises dans 3 sacs et suis rentré à Los Angeles. Je ne connaissais rien aux chaussures, à leur prix, à ce qu'elles coûtaient, sinon que toutes les femmes que j'ai rencontré dépensaient plein d'argent pour des chaussures. Donc j'ai invité 6 copines à dîner. Sur la table, j'ai mis mes chaussures. Et j'ai dit aux filles de les essayer et de me dire ce qu'elles en pensent. C'est assez fascinant de regarder une femme acheter des chaussures. Et c'est seulement après que je leur dis le principe de mon entreprise. Et je n'ai jamais vu des femmes aussi enthousiastes. J'ai vendu mes 6 premières paires ce soir là et eu une liste des boutiques les plus cools de L.A.

Je trouve un magasin qui me distribue. Mais la boutique dit que l'important c'est l'histoire, pas la chaussure. Elle a mis ma photo en vitrine et toutes les chaussures qu'elle m'avait pris. Peu après, une journaliste mode du Los Angeles Times m'a appelé pour que je lui raconte cette histoire. Deux semaines plus tard, il y a 2 titres en Une : la première sur le Da Vinci Code, la seconde sur Tom's Shoes. J'ai vendu 2200 paires dans la foulée, mais je n'avais que 140 paires ! Je suis reparti en Argentine pour faire des chaussures. Au bout d'un mois, on trouve le rythme de croisière de produit 800 paires par mois.

En octobre 2006, j'ai reçu un appel de Vogue et du bureau d'Anna Wintour. Et ils sortent cet article où ils me montrent en ayant l'air de savoir ce que je fais. Et les boutiques, les grands distributeurs, les Nordstrom etc., à New York, Los Angeles, Paris, m'appellent. Mais je n'ai pas de chaussures. Ils acceptent de recevoir les chaussures en un mois. Cet été là, on a vendu 10000 paires de chaussures.

J'ai décidé alors de partir en Argentine et de donner les chaussures. Mais pas n'importe comment : d'aller les remettre en mains propres. On est partis à 16, avec mes 3 stagiaires, ma mère, ma famille, des amis. Ma vie a changé le jour où j'ai distribué ces 10 000 paires en Argentine. Un jour, avant de partir, je rencontre cette femme qui pleur de joie et raconte que l'année qui venait de s'écouler, ses 3 fils se partageaient une paire de chaussures pour aller à l'école à tour de rôle.

Je pourrai parler des heures de cette histoire. Mais j'aimerai partager ce que j'ai appris philosophiquement autour des 3 dernières années. J'ai appris que donner est une très bonne stratégie économique. Quand vous intégrez le don dans votre activité, vos clients deviennent vos annonceurs. Il y a eu cette fille que je rencontre dans un aéroport et qui porte des Tom's 4 mois après le lancement. Et elle m'a raconté comme à un inconnu avec tant de passion ma propre histoire. Si elle l'a fait face à moi, face à combien de gens l'a-t-elle fait ?

L'autre point, quand vous intégrez le don dans votre entreprise, vous aurez plus de facilité à recruter et retenir les talents. Les gens veulent être partie prenante de quelque qui les dépasse. Quand les gens commencent à donner ensemble, ils oublient tout le stress et les petits problèmes, car ils oublient leurs propres problèmes pour s'intéresser à autrui.

Le troisième point : vous attirez les meilleurs partenaires. Deux partenaires ont changé la donne pour nous. Le premier, c'est un designer que nous connaissons tous, mais qui n'avait jamais collaboré ou designé pour d'autres en 40 ans. C'est Ralph Lauren. Il voulait des Tom's shoes pour ses polo stores. Et cela a fait parler toute la presse. Ralph est un homme épris de philanthropie, mais il a aussi compris que c'était bon pour son business, que ça attirait les jeunes. Le deuxième, c'est l'agence de pub d'AT&T qui m'a utilisé pour une publicité. J'ai raconté que je n'étais jamais dans un bureau et que tout passait par mon mobile. Je suis allé remercier le pdg d'AT&T. Et c'est lui qui m'a remercié en retour disant : nos utilisateurs ont besoin de nous associer à un usage. Donc c'était bon pour le business d'AT&T.

On me pose toujours deux questions. La première est : qui est Tom ? Il n'y a pas de Tom. L'idée était de dire : "une paire achetée aujourd'hiu, c'est une paire offert demain (tomorrow)". Mais Tomorrow's shoes ne rentrait pas sur la chaussure, donc Tom.
La deuxième est : quelle est la suite ? Je n'ai jamais répondu à la question en public mais je connais la réponse depuis 2007. En 2007 je suis allé en Afrique du Sud pour un shoe-drop. J'ai vu des tas de besoins. Nous avons donné alors 50 000 chaussures, ce qui montrait que le modèle marchait. Et donc, il pouvait marcher pour répondre à d'autres de ces besoins.

Aujourd'hui, je vais présenter le prochain produit "one for one". Il est dans la boîte mystère, qui sera ouverte le 7 juin 2011. Quand on présentera ce prochain produit, ce sera le début de notre travail pour répondre à d'autres de ces besoins.
"

vendredi 18 mars 2011

La Redoute attaque



La Redoute va de nouveau à l'attaque et qu'il a préparé à nous cette fois ? Oui voici à vous, regardez, cela de superbes démarques sur plus belles marques de la Redoute!
Après cela les ventes privées PUMA à moitié prix, qui dureront du 18 au 22 mars.




mercredi 16 mars 2011

Co-création de chaussures


La tendance co-création, sous-entendant la création des marchandises en commun avec le client, n'est pas nouvelle pour les entrepreneurs.
Mais voici la compagnie australienne Shoes of Prey a décidé de prouver à tout le monde que sous le client concret on peut créer n'importe quoi, même les souliers. La compagnie a élaboré l'application  pour la création des modèles uniques des souliers.
Étant venu sur le site Shoes of Prey, la visiteuse elle-même peut créer les souliers, quel lui plaisent : avec la pression du bouton "commencer" sur le site il y aura un choix du design de base (le talon, la chenillette, le "gladiateur", la chaussette ronde etc.). Il y a des clichés prêts du design avec les galons et les dessins, le paragraphe des documents des différentes couleurs. En ayant été défini avec ces paramètres, on peut "essayer" sur les souliers choisis les différents types des talons, les chaussettes et les ornements, choisir la hauteur du talon. Sur le site on peut construire les modèles de n'importe quelles tailles, les plus grand, ainsi que les plus petit. Puis on peut garder la variante prête dans les commandes, après quoi payer l'achat par le virement bancaire direct ou dans les systèmes Western Union, MoneyGram et Contact.

 Le procès de la fabrication est porté à l'outsourcing : la production en Chine, tous les souliers se font à la main. Les matières naturels (on utilise même une peau de serpent et de poisson), le daim et la soie italienne sont achetés dans de différents pays du monde. Les créateurs du projet garantissent 100 %-s' satisfaction par le résultat.

dimanche 6 mars 2011

Chaussures chez GSELL

Voici encore un magasin en ligne - GSELL , qui vend non seulement les chaussures mais aussi quelque chose encore, je ne dirai pas que, vous-mêmes, vous verrez. Mais puisque je suis intéressée plus par les chaussures, à vous quelques paires de JUST CAVALLI. Je peux seulement ajouter que sur le site il y a une place PROMOS où il existent quelques paires au rabais 20 %. 

355,00 €  Livraison gratuite

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Guess  170,00 €  Livraison gratuite

Passez en mode printemps avec des réductions allant jusqu'à -50%


Les bons plans de la mode de Quelle fleurissent avec des réductions allant jusqu'à -50% sur le site!

Cette opération est valable jusqu'au 14 mars.

Par exemple pourquoi pas ceux-ci  :



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jeudi 3 mars 2011

Bons plans du mois des Seniors

Le salon des seniors, la fête des grand-mères...Que d'événements dédiés à nos chers anciens. C'est en toute logique que nous leur consacrons ce mois de Mars car de nombreux boutique en ligne proposent des produits adaptés aux seniors.
Parmi eux, nous trouvons et de la chaussure de Daxon
Depuis plus de 30 ans, DAXON est synonyme de l'élégance et du confort auprès des clients seniors. Avec le code Bienvenue « 6118 » c'est 15 euros offerts et la livraison à 2 euros dès 29 euros d'achat, l'offre est valable jusqu'au 30 juin.
Mais maintenant rajoutez un concours où vous pouvez gagner 3000 euros. Ce concours est en l'honneur de la nouvelle collection de chaussures printemps 2011. La participation à ce jeu est entièrement gratuite et n’est liée à aucune obligation d’achat. La dotation du jeu est la suivante : Un chèque bancaire de 3000€, un chèque bancaire de 1500€ et un chèque bancaire de 500€.


Voici quelques exemples de modèles populaires :

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A partir de 39,92 € au lieu de  52,90 €
A partir de 35,92 € au lieu de  44,90 €